Qui Est Le Compagnon De Anne-Sophie Bernadi
Qui Est Le Compagnon De Anne-Sophie Bernadi – En 2015, j’ai reporté l’attribution de la bourse de télévision Jacques Goddet aux lycéens ayant une spécialisation en journalisme. En pleine grève, j’ai signé un CDI à L’Equipe en plus d’un contrat initial de deux mois.
Ma décision de participer au biathlon était entièrement une coïncidence. Pendant trois mois, j’ai continué ainsi ; au départ, l’envoyé spécial sur place, connu sous le nom de JRI (journaliste, ndlr), était parti.
Arnaud de Courcelles, l’actuel patron de la chaîne, se propose également à moi avec des notes plus graves et plus potentielles, et j’ai accès à un monde fantastique qui doit passer l’épreuve. Oui, c’était horrible après le premier cours, mais je lui en suis reconnaissant maintenant. Je ne suis plus envoyé au carbone à cause de toi. Dans l’ensemble, c’est un voyage incroyable.
Étiez-vous alors entraîneur de biathlon ?
J’ai été un peu sensible car nous sommes du même côté, et Martin Fourcade est la star départementale. Dans sa résidence, je pouvais entendre sa voix. Quand j’étais enfant, tout ce que je connaissais du sport, c’était le baseball et le football.
Je n’ai pas réussi à remporter la victoire comme mes concurrents en prononçant les mots « Qu’est-ce que le biathlon ? Des sports comme le cyclisme et la course à pied… En toute honnêteté, j’aurais dû regarder cinquante courses de biathlon avant de commenter ma toute première, mais j’étais très en retard.
Comment vous êtes-vous entraîné à être si naturel dans ce poste ?
Au début, j’ai agi comme si j’étais un expert en biathlon – du moins je voulais que tout le monde le croie. J’étais désespérément inadapté à ce rôle en raison de mes limites naturelles. Malgré mon inexpérience, Messaoud (Benterki, animateur à L’Equipe), le reste de la rédaction et mes patrons étaient tous d’accord pour que j’y participe et en fasse une force. Le récit est le même avec le biathlon : des centaines de milliers de téléspectateurs se connectent.
En supposant que nous ayons une compréhension générale de la conception du parcours, c’est-à-dire qu’il nécessite un tir précis et un ski rapide, nous souhaitons la victoire française. En revanche, vous devrez leur fournir des clés pour qu’ils puissent déchiffrer. Par conséquent, j’avoue qu’il y a eu des occasions où j’ai fait semblant de ne pas connaître les réponses et j’ai plutôt posé à Alexis (Boeuf, son consultant et ex-biathlète) des questions brutalement honnêtes.
Je suis entré dans les détails en expliquant ce règlement car je ne suis pas un expert en la matière. En raison de mon parcours et du nombre de courses que j’ai commentées, je suis plutôt un téléspectateur de biathlon ces derniers temps. Cela peut paraître arrogant, mais j’ai vite compris que je voulais servir d’intermédiaire entre les fans de courses automobiles et les professionnels.
De plus, votre paire est fonctionnelle…”Dans l’ensemble. Ils se complètent complètement. Nous trouvons immédiatement un consensus. Pour rendre le biathlon plus accessible au plus grand nombre, nous sommes tous unis, Alexis a décidé de s’ouvrir et de répondre des questions vraiment fondamentales, et Messaoud participe activement à l’organisation de l’événement.
À quoi ressemble une femme novice ? Avez-vous entendu quelqu’un dire quelque chose de négatif à ce sujet ? Il ne s’agissait pas tant d’être une femme que d’être une recrue dans un environnement de niche avec des ultrafans de niche.
Rien qu’en les regardant, je pouvais dire que je connaissais très peu de choses sur ce genre de choses et que cela ne m’intéressait absolument pas. En ce moment, je ressens beaucoup de pression pour le titre, mais c’est parce que mes offres initiales étaient si mauvaises.
Oh non! Ce n’est pas vrai. Si j’avais été novice ou non qualifié, je me serais senti obligé de commenter les cours et de proposer des critiques constructives. Les préjugés sont très minces et basés sur le sexe.
Wow, ton sommet de montagne est assez inspirant !
Être une bonne athlète féminine n’était pas la seule chose qui me donnait envie d’abandonner ; la concurrence, les critiques et la difficulté initiale étaient trop fortes. Être fier de mon altruisme et de ma persévérance, oui ; être content d’avoir affronté le regard masculin, non, puisque j’essaie de le garder à distance, mais si cela peut inciter les jeunes à prendre des risques et à vaincre leurs peurs, alors c’est une réussite remarquable ; néanmoins, cela me déstabilise. “
Quand exactement as-tu dit que tu ne devais pas y aller ? repartir de zéro. J’ai informé Arnaud de Courcelles : “Je veux rentrer en France, je ne le fais pas”, car ma première course a été un véritable désastre. J’aurais pu continuer à m’entraîner dans la terre, soulever des poids et devenir lourd, ou sauter. De plus en plus de gens choisissent de baisser leur garde et de respirer un peu plus tard. La biathlète sur cette photo, Anne-Sophie Bernadi, commente l’après-course d’Annecy-Le Grand-Bornand pour la chaîne L’Équipe.
Pour sa sixième année consécutive, la biathlète de 32 ans Anne-Sophie Bernadi est l’égérie de la chaîne L’Équipe. Cela ne saute pas immédiatement aux yeux de la jeune femme issue de sa communauté très unie de Collioure, petite ville du rugby dans les Pyrénées-Orientales de 3 000 habitants. Si elle avait toujours eu l’intention de travailler dans le journalisme, elle aurait donné la priorité aux thèmes politiques et sociaux.
Durant mon année de lycée, je ressemblais à un dessin animé. A l’âge de trente ansfr, j’étais une fille qui détestait participer à des activités sportives. Anne-Sophie Bernadi, pour qui l’athlétisme était à cette époque une cause de souffrance, rappelle qu’elle préférait “papper”. Après avoir terminé sa première année de journalisme à Toulouse et obtenu son baccalauréat, elle commence à envisager de travailler dans la section sportive.
Ann-Sophie Bernadi, quant à elle, n’a découvert ce sport qu’en 2013. La première étape de sa course a débuté dans l’ouest de la France. Il est ensuite sollicité pour couvrir la Coupe du monde de rugby des moins de 20 ans par la rédaction de La Roche-sur-Yon (Vendée). C’est le gros problème. “C’était merveilleux !” Pour mes copains, c’était limpide.
En regardant les Jeux olympiques ou la Coupe du monde, je ne pouvais pas détourner mes yeux de l’écran. Si vous interrogeiez Anne-Sophie Bernadi sur le rugby, elle vous révélerait que le dimanche, elle, son frère et son père sont des habitués du stade. Vous pouvez vous le procurer au club de Collioure. Nous serions tous plus qu’heureux de soutenir également l’affilié de l’USAP Perpignan. Oui, j’en suis un ardent défenseur.
“Le Biathlon de Reculon”… est un
À la fin de la saison 2016-2017, le journaliste est envoyé sur les courses de biathlon, dans un premier temps pour couvrir les événements en tant que reporter image pour la chaîne d’information L’Équipe. Après chaque course, elle demande aux concurrents de répondre à une série de questions.
Enfin, nous lui faisons passer un test afin de pouvoir faire un retour sur la discipline. Jusqu’à présent, je n’avais jamais fait cet entraînement. Alors… Mon objectif est d’être à proximité des athlètes de compétition.
Il y a des premières réactions vraiment désagréables. Il y a eu une tuerie, un massacre… Avec un brin de mélancolie, Anne-Sophie Bernadi se souvient : “Je suis larguée”. Les commentaires condescendants des téléspectateurs réprimandés sur les réseaux sociaux sont également frais dans son esprit. Après avoir été dénoncée et avoir entendu un torrent d’insultes racistes, elle trouve enfin sa place : “
Depuis quelques temps, j’avais l’ambition de devenir spécialiste. Après cela, j’ai réalisé que j’avais rejoint les rangs de ceux qui avaient également accepté la science. Ensuite, j’ai commencé à me renseigner sur la course auprès de mon compagnon Alexis Boeuf (qui avait déjà concouru pour la France, ndlr), et il m’a fourni les informations dont j’avais besoin. Même en tant qu’experte, la jeune femme se dit désormais maladroite et désorientée.
Ann-Sophie Bernadi, dermatologue
Quand Anne-Sophie Bernadi ne travaille pas comme journaliste ou ne participe pas à des épreuves de biathlon, elle aime faire la fête. Entre apéritifs et grandes tablées entre amis, elle a tourné une multitude de films dans des cinémas miteux. L’incontournable de la semaine dernière : Masquerade de Nicolas Bedos, avec Pierre Niney et Isabelle Adjani. Détente avec ses proches à Collioure pendant le tournage d’Avatar 2 : Next Web.
Elle ne peut pas contrôler son visionnage excessif de “La Couronne et les Croissants sont liés par la série documentaire Harry et Meghan” et de ses autres émissions bien-aimées. Pourtant, le journaliste est également connu pour voler des livres. En ce moment, sur la table de son cheval, on peut voir “Le Goût d’Hitler” de Rosella Postorino. Côté desserts, vous aurez le choix entre un gâteau au chocolat ou des gourmandises « maison » comme la courge butternut rôtie à la feta.
La salle de sport, l’aquabike et le running Au milieu de toute cette activité, vous trouverez des plages tranquilles ouvertes jusqu’à quatorze heures ! Génial, juste avant de commencer un “marathon” de remarques avant la troisième étape de la Coupe du monde de biathlon ce week-end au Grand-Bornand.
Chère Annie, « J’aurai 50 cours de biathlon de plus dans ma vie », a déclaré Sophie Bernadi.
Ann-Sophie Bernadi, commentatrice de biathlon pour la chaîne de télévision française L’Équipe depuis 2016, sera de retour pour la nouvelle saison qui débutera mardi à Kontiolahti, en Finlande. Sur la base de ses expériences et des capacités qu’elle a perfectionnées en tant que biathlète, Bernadi fait ses présentations.
Où en êtes-vous à L’Équipe ?
Ann-Sophie Bernadi, commentatrice de la chaîne L’Équipe lors de la saison de biathlon à Annecy-Le Grand-Bornand, est représentée dans ce portrait. La biathlète de 32 ans Anne-Sophie Bernadi est l’égérie du sport sur L’Équipe depuis six mandats consécutifs.
Une route pas très fréquentée pour celle qui a grandi à Collioure, ville des Pyrénées Orientales, où la population compte moins de 3 000 habitants. “À l’école, je ressemblais à un dessin animé”, a-t-elle déclaré, réfléchissant à la façon dont ses livres préférés l’ont initiée aux questions sociales et politiques avant même qu’elle ne réalise qu’elle voulait devenir journaliste.
À l’adolescence, Anne-Sophie Bernadi se souvient d’une époque où elle s’intéressait moins au sport et plus aux sorties avec ses amis qu’aux activités physiques rigoureuses comme la course à pied. C’est après avoir terminé sa première année d’école de journalisme à Toulouse et obtenu une licence de lettres françaises qu’elle choisit de consacrer sa vie au sport.
La plus récente réalisation en matière de sport d’Anne-Sophie Bernadi. Le sud-ouest de la France est le lieu de sa première rotation. Par conséquent, il s’est vu confier la responsabilité de couvrir le rugby des moins de 20 ans.
Coupe du monde par la rédaction du journal de La Roche-sur-Yon (Vendée). C’est la chose la plus inattendue. C’était fantastique !Travailler comme journaliste a toujours été le métier de mes rêves car j’aime raconter des histoires et documenter la vie des gens.
Elle a obtenu la bourse Jacques Goddet à L’Équipe en 2015 et a complété ses études dans ce but. Le sport et le biathlon se profilent à l’horizon. Mes amis et moi pouvions le voir venir. J’étais le genre de personne qui restait complètement captivée par la télévision à chaque fois que se déroulaient les Jeux olympiques ou la Coupe du monde de football.
Comme le dit Anne-Sophie Bernadi : “Tous les dimanches, j’étais au stade avec mon père et mon frère”. Cela signifie qu’elle a une expérience personnelle du rugby. Tous deux étaient très impliqués dans le club social de Collioure. En équipe, nous soutiendrons le club perpignanais USAP. Ici, un partisan indéfectible.
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