Doc Gyneco Mort
Doc Gyneco Mort – Sa naissance est survenue le 7 juillet 1974 à Clichy-sous-Bois et son prénom est Bruno Beausir. Après que son père ait abandonné la famille en Guadeloupe, sa mère est devenue sa principale soignante.
Dans le 18ème arrondissement de Paris, il passe ses années de formation dans le quartier de la Porte de la Chapelle. Il manque souvent les cours pour sortir dans la rue avec ses copains. Le voisin d’à côté, Gilles Duarte, également connu sous le nom de Stomy Bugsy, devient son copain. La suite de sa quête dépendra de cette rencontre. Il partage son temps à parts égales entre le football et la musique, suivant Stomy Bugsy et aidant plus tard à former le groupe de rap Ministry AMER avec Passi et Hamed Daye.
C’est au début des années 1990 qu’il s’initie aux techniques d’enregistrement, consoles, claviers, etc., en participant aux sessions en studio du groupe ministériel AMER. Sous le pseudonyme de « Doc Gynéco », il commence lentement mais sûrement à composer et à produire ses premiers modèles destinés à être distribués aux maisons de disques.
Son premier album, Première consultation, sort en 1996 et est largement propulsé par la chanson à succès Viens voir le Docteur, qui lui vaut une nomination pour la Révélation de l’année aux Victoires de la Musique. Parallèlement, il devient membre du même groupe de rap que Stomy Bugsy, dit Secteur A. Mais en 1999, après de nombreux désaccords, il déclare publiquement qu’il quitte le groupe.
Refait surface en 2001 avec Quality Street, qui accueillait des invités de tous horizons, de Laurent Voulzy au rappeur américain RZA, Doc Gynéco était une fois de plus une force avec laquelle il fallait compter.
Toujours en 2002, il sort Solitaire, élu meilleur album rap en 2003 par la Victoire de la Musique. Le rappeur a publié son autobiographie, également intitulée “Un homme nature”, en 2006, ainsi que l’album du même nom. Plus tard cette année-là, il sort Doc Gynéco, un album entièrement enregistré dans la région.
Beaucoup de gens ont eu des problèmes avec lui parce qu’il avait soutenu Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle de 2007. Les ventes d’albums sont en baisse et le dernier effort de l’artiste, Peace Maker, a échoué au box-office. Lorsque Doc Gynéco a décidé de quitter l’industrie musicale, il l’a fait.
En 2003, Doc Gynéco se lance dans le cinéma lorsque son nom apparaît au générique de fin de la comédie Gomez et Tavarès de Gilles Paquet-Brenner. Il s’y est essayé à d’autres occasions, notamment dans le film de François Régis, Au lit avec Doc Gynéco (2006), ou encore dans le téléfilm de Pierre Aknine, Ali Baba et les quarante voleurs (2007).
Vu pour la première fois dans le drame The Century Will Be Feminine or Will Not Be en 2009, il a depuis fait plusieurs autres apparitions au théâtre. Chroniqueur à l’émission Télésud C’est contesté en 2014, il fait cette année-là ses débuts à la télévision.
Il a réédité son premier album, Première consultation, en 2016 pour célébrer son 20e anniversaire depuis sa sortie originale.A la rentrée 2018, il revient à la télévision et commence à apparaître dans la nouvelle émission de Cyril Hanouna, diffusée le vendredi à 18h.
Selon Le Parisien, Doc Gynéco a été placé en garde à vue par la police le 10 mars 2021 pour « soupçons de violences conjugales ». Une affaire de « violences volontaires par conjoint » a été ouverte. Reconnu coupable de violences conjugales le 18 mai 2021, Doc Gynéco a été condamné à cinq mois de prison avec sursis et à 2 000 euros d’amende.
En privé, Doc Gynéco est l’heureux parent de trois enfants : Jérusalem-Alda, Jeanne et Bruno. Il était le compagnon de Christine Angot et leur relation a été relatée dans le roman de 2008 Le marche des amants.
Christine Angot est une auteure de renom qui a récemment rejoint la prestigieuse Académie des écrivains Goncourt. On ne ment pas chroniqueur et, plus surprenant encore, un ami proche de la star du rap Doc Dynéco s’est révélé être l’auteur de L’inceste.
Deux aspects de sa vie l’ont attiré l’attention du public. En février 2016, Bruno Beausir, mieux connu sous son nom de scène Doc Gynéco, discutait avec certains de nos amis et collègues de Next sur la façon dont il caressait l’idée de disparaître depuis un certain temps.
L’artiste n’avait pas fait son grand retour sur le devant de la scène en écrivant pour Touche pas à mon pocket pendant une durée limitée. Placé en garde à vue le 10 mars pour violences conjugales présumées, il a accepté d’évoquer toute sa vie, ses décisions, ses envies et ses besoins lors de cet entretien.
Dans cette conversation commémorant les 20 ans de la sortie de son album phare Première Consultation, l’artiste a évoqué les œuvres qui ont récemment retenu son attention. L’occasion pour nos confrères de parler des écrits de Christine Angot, dans lesquels elle décrit très graphiquement ses relations sexuelles avec le rappeur dans Le Marché des amants, paru en 2008.
Le caractère sournois et veuve noire de Christine est ce qui me plaît le plus chez elle. C’est ce que j’apprécie chez elle ; Je n’ai rien trouvé à redire. L’ancien soutien de Nicolas Sarkozy a déclaré : “C’est comme ça qu’elle nourrit son art : elle mange ses amants.
La phrase “Je voudrais la remercier”
Le début du roman a coïncidé avec une interview de Doc Gynéco dans le magazine Elle, au cours de laquelle il a remercié et félicité son ex-amante. L’autolecture est un défi dans la fiction. J’imaginais franchir une porte et me retrouver au milieu d’une séance de maquillage passionnée.
C’était une description inattendue… ostentatoire. J’apprécie beaucoup ce compliment et je lui suis reconnaissant de m’avoir fait découvrir, quoique humblement, la littérature française. Ce cadeau qu’elle m’a offert ne m’a pas encore vraiment convaincu. Il a admis : “C’est vertigineux”.
C’est une véritable chute aux enfers pour Doc Gyneco depuis la campagne présidentielle de 2007, lorsqu’il avait pris la décision absurde de soutenir Nicolas Sarkozy. Le rappeur a été ridiculisé dans la presse et boudé par ses fans.
Il a donc progressivement disparu de la scène publique et a finalement dû s’inscrire à Pôle Emploi. Le chanteur de 38 ans a déclaré hier soir (5 décembre) à Marc-Olivier Fogiel de RTL qu’il était déterminé à faire un retour et qu’il prévoyait d’enregistrer un nouvel album et une tournée.
Après cinq ans, Doc Gyneco revient sur la période où il a soutenu l’ancien président de la République et comment cela a finalement conduit à sa chute : « Les gens sont devenus fous quand ils ont vu la photo de Sarkozy et moi, ils ne l’ont pas fait. » Ils ne l’ont pas vraiment fait.
savoir le lire. Il conclut : « Il était clair que de nombreuses personnes avaient un intérêt direct dans ma disparition. » Maintenant qu’il a été exposé aux horreurs de la politique, le Doc affirme qu’il ne se laissera plus jamais entraîner dans la mêlée : “Vous risquez votre vie, je ne savais pas que les extrémistes étaient fous, je ne le savais pas. Je ne sais pas que les gens pourraient tuer pour des idées…”
Bien qu’en grande difficulté financière et obligé de se présenter à Pôle Emploi, Nicolas Sarkozy n’est pas venu en aide à Doc Gyneco dans ces moments difficiles. Puisqu’il s’identifie comme un homme politique, vous devez vous attendre à un comportement politique de sa part.
Il ajoute un peu froidement que “en tant qu’homme, il pouvait le faire, mais il ne l’a pas fait”. Doc Gyneco a néanmoins écrit un livre sur sa rencontre avec l’ex-président, et Pierre Sarkozy, le fils de ce dernier, a réalisé le dernier CD de Doc, Peace Maker.
Doc Gyneco, père de trois enfants, a pu se débrouiller grâce au soutien de ses proches : “Je n’avais pas d’argent ou j’avais des ennuis, je pouvais contacter quelqu’un ou un autre. L’artiste, de son vrai nom Bruno Beausir, révèle que” dans la rue, je peux sauter dans un bus et quelqu’un me lâchera puisque c’est Doc Gynéco, je n’ai pas besoin d’acheter de ticket.
Face à l’évolution de la scène rap, il emboîte le pas à Booba en s’en prenant à une Diam’s voilée : “Maintenant, pour faire revenir Diam’s, il faut convoquer celui qui a joué dans L’Exorciste… Il va falloir rassembler toutes vos forces pour la ramener au point de départ. Il prédit que la situation va devenir difficile.
Dans un entretien au Parisien publié le 6 décembre, Doc Gyneco rapporte que “ça va mieux” pour lui et sa mère maintenant qu’ils vivent dans le 18e arrondissement de Paris. Le chanteur vise à « perdre du poids » avant de sortir un nouvel album et de partir en tournée pour soutenir son catalogue de succès des années 1990, qui l’a présenté pour la première fois au public. Mais il n’y a pas d’heure précise et le rappeur n’a aucune idée du lieu où il peut donner un concert.
Le Parisien rapporte jeudi que Doc Gyneco, interpellé la veille suite à l’appel d’un voisin pour signaler des bruits inquiétants, est toujours entendu dans le commissariat où il est détenu dans le 18e arrondissement. De son vrai nom Bruno Beausir, il a été interpellé le 10 mars par la police pour « violences volontaires sur conjoint ».
Lors d’une dispute avec sa femme de 25 ans, le chanteur l’aurait « violemment giflée », selon ce que rapporte Le Parisien. Une source policière a indiqué que lorsque les policiers sont arrivés au domicile du couple mercredi, le fils a ouvert la porte et ils ont vu le chanteur et sa femme dans le salon ; le fils avait vu que la femme du chanteur avait un œdème dans la région.
de l’œil,” qui enflait ” de façon évidente. Elle a ensuite affirmé qu’elle et Doc Gyneco avaient eu une altercation physique à cause de sa jalousie et qu’il l’avait giflée quatre fois. Le musicien n’a même pas essayé de réfuter les allégations portées contre lui. Lors de son audition, il a reconnu sa culpabilité dans cette agression, la qualifiant de « stupidité » survenue pendant une période de « désarroi » provoquée par une combinaison de facteurs, parmi lesquels l’état de santé du couple, qui les a obligés à passer plus de temps à la maison, et leurs difficultés professionnelles.
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